« On ne mange pas l’idée » dit souvent la rue togolaise. Pourtant, sans idée, il n’y a ni direction, ni futur.

Et si justement, la transformation de Lomé naissait d’une idée simple : agir là où on est, avec ce qu’on a, pour ce qu’on croit.

Entre héritage et horizon

Lomé, la capitale qui palpite, avance à deux vitesses. Entre les klaxons des taxis-motos, les marchés en effervescence, et les tours qui sortent de terre, on sent que quelque chose bouge.
Mais dans ce frémissement urbain, il y a un combat silencieux : celui entre les rêves des bâtisseurs et les poids de la résignation collective.

Depuis des décennies, un discours s’est enraciné :

• « C’est à l’État de faire…« 

• « On n’a pas les moyens…« 

• « Ici, ça ne marchera jamais…« 

• « Lomé, c’est Dohi…« 

Autant de phrases qui sonnent comme des incantations fatalistes, répétées jusqu’à devenir des vérités auto-imposées. Résultat ? Une grande partie de la jeunesse, des entrepreneurs, des rêveurs… se mettent eux-mêmes en pause.

Mais est-ce vraiment le rôle d’un pays d’attendre ?

Est-ce vraiment le rôle d’une génération de quémander l’impulsion ?
L’histoire nous montre que ce sont toujours les audacieux, les marginaux de la pensée dominante, qui ouvrent les brèches.

Le développement durable, version Togo :
pas une mode, une nécessité

🌍 Le développement durable, version Togo : pas une mode, une nécessité

Ici, le développement durable n’est pas un slogan de colloque international.

C’est une urgence vitale.

Dans une ville où les saisons sèches deviennent plus longues, où les zones marécageuses disparaissent sous le béton, et où les déchets deviennent des paysages eux-mêmes… il ne s’agit plus de parler d’environnement, mais de survie urbaine.

Et pourtant, les discours institutionnels peinent à trouver un ancrage dans le réel.
Parce que, ce n’est pas l’écologie qui doit parler au peuple, mais le peuple qui doit voir sa propre survie dans l’écologie.

Le développement durable, au Togo, doit être raconté autrement :

• Comme une réinvention des modes de vie,

• Comme une gestion du territoire pensée sur plusieurs générations,

• Et comme un levier économique, au lieu d’un fardeau.

Penser autrement : le rôle des bâtisseurs

Ceux qui bâtissent sans attendre la permission.
Ceux qui créent des projets audacieux au cœur même du scepticisme ambiant.
Ceux qui décident que “ce pays est ma responsabilité, pas mon excuse.”

Ils sont encore peu nombreux. Mais ils existent.
On les croise rarement dans les plateaux de télé, mais souvent dans les réunions de terrain, les études de faisabilité, les calculs risqués mais visionnaires, dans l’avenir, pas dans les remords et auto-victimisations de vécus passés ; Et RELIANCE WEST AFRICA en fait partie.

Avec son projet EAST LAKE PARK et sa toute première construction SIKA RESORT, l’entreprise vient poser une brique nouvelle dans l’imaginaire collectif

“ On peut construire autrement. On peut construire durablement. On peut construire en pensant aux générations qui viendront vivre ici demain. ”

En bref: une bascule mentale est nécessaire

Lomé ne changera pas avec des hashtags (#sauvonsLeTogo, #hustlerMentality, #togolaisAlavieAlamort, etc..).
Elle changera avec des actes, des chantiers, des risques, et une nouvelle manière de penser le présent.

Le développement durable, ce n’est pas un luxe d’occidentaux. C’est l’arme secrète des nations qui veulent s’élever sans se perdre. S’appuyer les uns sur les autres pour porter loin une vision commune, toute une communauté, un héritage générationnel, un futur profitable et idéale à tous.

Il est temps que chaque entrepreneur, chaque jeune togolais, chaque acteur économique se pose la question :
Et moi, comment je transforme mon pays ?

Car la ville ne changera pas sans ses bâtisseurs. Lomé, Togo, ne se fera pas sans ses géants.

À tous nos héros du quotidien, le changement c’est maintenant.
Et cette fois-ci, le changement vient du privé, et c’est signé RELIANCE WEST AFRICA.